• Mafia scolaire

    Une enseignante dont le mode de vie est de tenir régulièrement des propos vexatoires, méprisants et discriminatoires envers ses étudiants, se fait enregistrer pendant un de ses cours par un de ses élèves, soit mon fils François. Dans cet enregistrement, elle s'en prend entre autres à l'obésité d'un élève en ces termes "Arrête de bouger, la terre tremble autour de toi".
    En réaction, un autre élève qui s'exprime en disant que "c'est ben chien cà" elle réplique "Toi, sais-tu c'est quoi un chien de ma chienne? J'ai la mémoire longue".

    C'est dans ce contexte que j'ai déposé une plainte écrite envers Françoise Simard, enseignante de niveau secondaire IV de la polyvalente Dominique Racine de Chicoutimi. Plutôt que de me remercier d' avoir démontré un comportement aussi indigne à la profession d'enseignante, on s'insurge du fait qu'un étudiant ait osé enregistrer une des leurs. On s'en prend au moyen plutôt qu'à la cause elle-même. Le syndicat (CSQ) lance un mot d'ordre par la suite à tous les autres enseignants de mon fils de ne plus lui enseigner. Les autorités prennent alors la décision de changer François de groupe pour les 2 cours donnés par l'enseignante en question, Françoise Simard, malgré que mon fils leur ait signalé à de nombreuses reprises qu'il est bien dans ce groupe, qu'il aime ce groupe et que cà va bien dans ce groupe. L'enseignante constitue le problème mais on agit sur l'élève. La victime au banc des accusés et la mafia scolaire laisse Françoise Simard "en saigner", toute fière de se vanter dans les jours suivants que "François
    ne faisait plus partie de son groupe". Comble de l'ironie, elle enseigne en histoire et en "morale".

    Mon fils doit signer un protocole de retour dans lequel il s'engage à "accepter" un changement de groupe, à ne plus jamais enregistrer et à respecter les règlements de l'école. La direction est même prête à payer une enseignante en privé pour qu'il ne subisse pas de préjudices suite aux 10 jours de boycott, mais par crainte du syndicat de "syndigaleux",il est hors de question de laisser le message qu'une enseignante puisse être répréhensible, quoi qu'elle dise, quoi qu'elle fasse. Mon fils doit signer "le protocole de la mafia scolaire" sinon il doit se trouver une autre école. Le topo est sorti tant à CKRS, la radio régionale en 2 émissions, qu'à TQS et le journal de
    Jean-Luc Mongrain, à la grandeur du Québec. Suite le 10 janvier au retour des classes.


    Commentaires

    Tel que les tribunaux ont confirmé dans plusieurs jugements, l'enseignante, en plus de son volet
    transmission des connaissance d'une matière spécifique,a un rôle de modèle et qui comporte des devoirs importants, notamment celui de véhiculer, tant par le geste, la parole que par l'attitude, les valeurs de notre société. En outre, la norme de conduite à laquelle doit satisfaire un(e) enseignant(e) est plus élevée que la norme minimale de conduite par ailleurs tolérée, étant donné les responsabilités publiques qui lui incombent et les attentes de la collectivité relativement au système d'éducation.

    Le comportement de madame Simard contrevient non seulement aux principes évoqués précédemment en regard de la loi 22 (LIP), mais est néfaste et préjudiciable à plusieurs égards envers les élèves, et dépasse même à la rigueur le contexte de l'enseignement. En effet, une atteinte à des droits fondamentaux (discrimination face à un handicap physique, dignité, intégrité de la personne) et l'aspect de la violence verbale sont aussi en jeu. Ce faisant, le milieu scolaire vient de contrevenir à un droit fondamental inscrit dans la charte des droits, tant québécoise que canadienne, soit celui du droit à l'éducation, tout cà, parce que mon fils, suite à ma directive, a utilisé un moyen tout à fait légal, dont j'ai par la suite utilisé de façon très transparente et conforme pour dénoncer un comportement grave d'une personne qui, par délégation de l'autorité parentale, représente la personne la plus importante à part le parent,
    dans le cheminement et l'épanouissement de mon jeune, un des principes et valeurs des plus importants à mes yeux et de notre société.

    Des informations obtenues sur l'enseignante Françoise Simard, qui en est à sa dernière année avant la retraite, m'apprennent qu'elle a déjà un dossier disciplinaire. Mépriser les élèves de façon gratuite, sans aucun contexte, fait partie de son mode de vie. Pour ajouter à l'injure, tant du côté de la direction, que des commentaires spontanés obtenus en privé de la part de ses propres collègues, une constante revient unaniment "On la connaît Françoise". Le milieu scolaire la connaît, ses comportements sont connus, mais la loi du silence s'impose dans cette culture malsaine de l'enseignement. Tout simplement odieux. Jamais je n'aurais crû vivre cà au Québec. Je me croirais en pleine république de bananes. Ce sont ces mêmes bandes de putes d'enseignants qui, au nom de l'amélioration de leurs conditions de travail pûrement narcissiques et corporatistes, viennent nous tenir le discours du "souci" et de la "préoccupation" de "l'éducation de nos jeunes".

    Au surplus, plein de directeurs et de cadres à $75,000/an qui sont là pour diriger...mais personne n'ose mettre ses culottes devant cette culture du "godfather scolaire".

    J'envisage d'entreprendre une poursuite judiciaire dans ce cas précis, une première au Québec.
    Avant, pendant et après mon fils, la société ne peut tolérer de telles aberrations, j'ai une conscience sociale...et je ne reculerai pas! Ce n'est pas vrai que les coûts énormes en éducation au Québec servent entre autres à "se protéger le cul" entre enseignants et direction qui provient de ces mêmes enseignants.

    Que serait-il arrivé, si l'enseignante s'en serait prise à une ethnie, race ou religion?
    S'en prendre à un "gros", y'a rien là?


  • Commentaires

    1
    Nathalie
    Jeudi 16 Février 2006 à 16:09
    Dominique Racine
    Je dois faire l'inscription de ma fille en sport études à cette Polyvalente je me rends sur les lieux de l'école et me dirige vers les bureaux administratifs la secrétaire jase de ses problèmes avec un homme que je crois être le directeur...? elle se plaint qu'elle est débordé bla bla je suis planté là à attendre que quelqu'un me réponde j'interomp la conversation et me fais dévisager par cette femme à l'air menaçant qui me dirige vers le deuxième étage pour les locaux du sports études là je traverse un couloir de déficients mentaux un grillage et une porte codé ouf! j'ai des doutes là cette polyvalente est désuète et pas du tout accueillante que dois-je en penser? est-elle bien coté sur le plan académique ...........
    2
    Denis
    Mercredi 29 Mars 2006 à 01:59
    réponse Nathalie
    Excuse-moi Nathalie,pour le retard de répondre. Côté académique, Dominique Racine n\'est pas pire qu'ailleurs. Le problème que je décris en est un systémique, profondément ancré dans la "culture" scolaire où tout le monde se protège le cul. Tous les administrateurs proviennent de ce milieu. Que tu sois du côté syndical ou patronal,le copinage est la règle. Donc, lorsqu'un danger menace de démasquer un des leurs....so.so..solidarité oblige. Comment expliquer d'ailleurs que le milieu scolaire est le seul qui refuse de se donner un code d'éthique? Avocats, notaires, comptables, électriciens, agents d'assurances,etc... tous sauf ceux à qui on laisse nos enfants....
    3
    Mercredi 29 Mars 2006 à 02:08
    Vous voulez
    obtenir gain de cause? Déclarez que votre progéniture s'est convertie à l'islam. Cela devrait suffir à instruire un procès en islamophobie. Ca marche mieux que les gros, et cette chère Mme Simard aura ses coreligionnaires sur le dos.
    4
    Mercredi 29 Mars 2006 à 02:12
    Liquid
    Bien vidé Liquid! Et un juif...cà  y était pour le recours collectif et la Cour Suprême!!! Merci de ton commentaire!
    5
    Mercredi 29 Mars 2006 à 02:14
    rectification
    Jevoulais dire bien "visé"..hi!Hi!
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :